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La déconnexion volontaire aux TIC
La déconnexion volontaire aux TIC
29/11/12
Une étude américaine menée auprès de 2 462 collèges et lycées tend effectivement à donner le mauvais rôle au smartphone, qui distrait plus qu’il n’aide à étudier. Ces aspects négatifs se poursuivent en dehors des cours où les élèves ont beaucoup de mal à rester concentrés sur leurs devoirs plus de quelques minutes, la source de distraction principale prenant la forme d’un smartphone, d’un iPad ou encore d’un ordinateur portable. Pour l’auteur, « trois quarts des ados jettent un œil tous les quarts d’heure à leur portable ou autre appareil et, si ils ne sont pas autorisés à le faire, cela les rend nerveux ; et l’anxiété empêche l’apprentissage. »
22/11/12
Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, donne dans l’article suivant un avis sur le terme « d’addiction » qui lui semble inapproprié pour qualifier ce qu’il préfère appeler une « utilisation excessive » des réseaux sociaux.
L’article interpelle également en raison de commentaires plutôt virulents de la part des lecteurs qui ne sont, pour la plupart, absolument pas d’accord avec cette analyse.
16/11/12
Cette nouvelle enquête très complète sur les possesseurs de smartphones Androïd vient compléter le billet précédent sur les applications. L’enquête s’intéresse principalement au comportement des utilisateurs de ces smartphones/tablettes et à leurs usages des diverses applications présentes sur le Google Play Store : quelles applications sont les plus téléchargées ? Pourquoi ? Quand sont-elles utilisées ? A qui peut-on prêter son smartphone ? Sa tablette ?
Certains résultats peuvent nous intéresser, d’autant plus qu’Androïd est aujourd’hui le système d’exploitation mobile le plus utilisé en France selon une récente étude de Médiamétrie, loin devant l’iOS d’Apple, présent sur moins de terminaux.
13/11/12
Ce ne sont pas nécessairement les smartphones qui « nous changent la vie ». Ce sont surtout, d’après cet article, les applications que l’on peut y trouver. Qu’il s’agisse de géolocalisation, services divers connectés à Internet (météo, shopping, bourse, etc.), réseaux sociaux ou encore jeux vidéo mobiles, ces apps sont aujourd’hui devenues des indispensables. Mieux encore, le « market » ou « store » (selon les dénominations) d’un système d’exploitation peut influer grandement dans le choix final du smartphone, tandis qu’il contribue par la même occasion à fidéliser les mobinautes qui tiennent à leurs applications (souvent gratuites mais parfois achetées) et qui veulent les retrouver lorsqu’ils changent de téléphone. Le matériel importe certes, mais pas forcément autant que le logiciel dans le cas présent.
L’article nous fait découvrir, entre autres, le témoignage d’une étudiante qui se servait uniquement de la fonction téléphonie de son smartphone et qui a peu à peu découvert les store d’applications en ligne :
“[My friends] just could not imagine how I could survive without all the applications that are helping them through life,” she shares with a laugh.
“Now I cannot imagine living without them either.”
Elle dit également se sentir bien plus proche de ses amis depuis qu’elle utilise les réseaux sociaux mobiles et des applications de messagerie instantanée comme WhatsApp, car elle peut garder le contact avec eux de façon permanente.
D’autres témoignages suivent, principalement sur le thème de la géolocalisation et des applications telles que Garmin, WazeGPS et Google Maps.
http://thestar.com.my/news/story.asp?file=/2012/11/11/nation/12305153&sec=nation
9/11/12
D’après une étude réalisée par Médiamétrie, près de 24 millions de français disposent aujourd’hui d’un smartphone en France, soit 7 millions de plus qu’il y a un an. En toute logique, l’Internet mobile suit le même essor puisque 22,3 millions de personnes se sont connectées à l’Internet mobile (par le biais d’un site ou d’une application) cette année, un chiffre que l’on doit à la fois à l’explosion des ventes de smartphones en France mais aussi à la très forte croissance des forfaits comprenant l’usage « Internet illimité ».
Si les chiffres sont impressionnants, il sont toutefois à pondérer légèrement : qu’en est-il par exemple des professionnels qui possèdent deux smartphones ou plus ? De même, nous ne savons pas si toutes les ventes sont prises en compte ou bien uniquement les smartphones vendus avec un nouveau forfait.
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