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La déconnexion volontaire aux TIC
La déconnexion volontaire aux TIC
6/02/12
Et si vous laissiez tomber votre portable pendant trois jours… Les 12 e journées sans téléphone mobile démarrent ce lundi et proposent à chacun de prendre ses distances avec cet objet devenu incontournable. Un objet qui permet non seulement de téléphoner et d’envoyer des textos, mais aussi de surfer sur internet, consulter ses e-mails, échanger sur les réseaux sociaux, prendre des photos… De nouvelles pratiques devenues des réflexes. Parfois plus… Pour les vrais accros, impossible de dîner sans consulter Facebook sous la table ou d’aller au cinéma sans lire ses e-mails pendant une séance de deux heures…
Une université américaine a mené une expérience sur des étudiants en les privant de téléphone, d’ordinateur et de télévision. Tous ont rapidement ressenti des manques. Certains allant même jusqu’à la crise d’anxiété voire l’épisode de dépression.
Les adolescents fragilisés
Difficile d’évaluer combien de personnes sont concernées. Aux États-Unis, une étude a révélé que plus de 50% des Américains préfèreraient abandonner l’alcool, la caféine ou le chocolat plutôt que leur téléphone pendant une semaine. Un tiers d’entre eux préfèreraient même abandonner leur vie sexuelle…
En France, les analyses portent davantage sur les adolescents. Selon une étude TNS – Sofres parue en octobre dernier, 42% d’entre eux affirment ne pas pouvoir vivre sans nouvelles technologies.
Un comportement qui révèle d’autres troubles
Pour Jean-Charles Nayebi, psychothérapeute auteur de plusieurs ouvrages dont “Enfants et adolescents face au numérique”, il existe bien une cyberdépendance et elle prend différentes formes : “la dépendance au cyber-jeu, au cyber-sexe, à la cyber-communication (réseaux sociaux, etc), au cyber-amassage (téléchargements, achats en ligne).
Des comportements excessifs, voire compulsifs, qui cachent d’autres troubles plus profonds, selon Vanessa Lalo, psychologue clinicienne spécialisée dans les médias numériques : “Il ne faut pas confondre le symptôme et le syndrome. Cela peut révéler un besoin de se sentir aimé, de voir et d’être vu, une confiance en soi très basse, une identité pas bien structurée”, détaille-t-elle.
Pas préparés à ce déferlement numérique
Pour les spécialistes, les outils ne sont pas directement en cause : “J’ai tendance à penser que le problème n’est pas l’augmentation de l’intelligence de la machine mais la diminution du bon sens des hommes”, explique Jean-Charles Nayebi, La difficulté, c’est qu‘il n’y a “aucun cadre : on est dépassé par l’invasion des technologies et on n’arrive pas à la gérer”, poursuit Vanessa Lalo. Qui conseille, notamment aux parents inquiets de voir leurs enfants accrochés à leur téléphone, d’expérimenter eux-mêmes l’outil pour mieux le comprendre et fixer des limites.
Lien :
http://www.ledauphine.com/societe/2012/02/05/quand-les-nouvelles-technologies-rendent-accros
1/02/12
La «dépression Facebook», qui toucherait principalement les adolescents et pré-adolescents, serait associée à une utilisation intensive des médias sociaux et se manifesterait par des symptômes classiques liés à la dépression…
Lien:
25/01/12
Article:
De nos jours, l’on assiste de plus en plus à une augmentation croissante de la population souffrant d’une dépendance chronique aux nouvelles technologies. Le problème est vraiment sérieux car la majeure partie de la population atteinte est vraiment jeune. Elle se situe entre 14 et 35 ans. Cette dépendance créée chez ces jeunes gens des troubles du sommeil qui peuvent s’avérer être très négatifs pour leur santé. Comment savoir que vous êtes dépendants des nouvelles technologies d’informations et de communication. L’internet et ses avatars Avec le succès d’internet, toutes sortes d’activités se développent en ligne. Une activité a particulièrement bien réussi, c’est celle des jeux sur internet. Lorsque je parle de jeux, je veux faire allusion aux jeux d’avatars. Dans ses jeux, on se met dans la peau d’un personnage, et l’on guide ses faits et gestes. Même quand on n’est pas connecté les autres joueurs continuent leur évolution dans le jeu. Cela crée alors une sensation d’inquiétude chez le joueur, vu qu’il se s’inquiète sur le déroulement du jeu et sur l’évolution de son avatar et de son univers. J’ai un ami qui lui ne dormais presque pas parce qu’il se souciait de la santé de son héros dans un jeu d’Avatars. Il craignait les attaques de ses voisins et il ne voulait pas se faire surprendre. Lorsqu’il n’est pas devant son ordinateur, il est angoissé. C’est un peu les symptômes que l’on rencontre chez un dépendant des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Les téléphones portables, grande cause
Mon constat a été sans appel. Les téléphones portables sont une grande cause de dépendance au NTIC. Cela est surement dû aux différentes promotions des compagnies de téléphonie mobile. Afin de fidéliser leur clientèle, les compagnies de téléphonie mobile proposent des forfaits incluant des SMS illimités. Certains utilisateurs sentent le besoin d’envoyer obligatoirement des SMS comme cela est inclus dans le forfait. L’envie de vouloir profiter amplement du forfait conduit à devenir dépendant de celui-ci. Et là, vous pourrez remarquer que le jour où le réseau de l’opérateur à une petite lenteur, les plaintes affluent au standard de celui-ci. Avec ce genre de forfait, des personnes ont des conversations multiples et se font dans la plupart des cas beaucoup d’amis. Ainsi, la dépendance nait petit à petit et on finit par être un accro aux SMS.
Les hommes de média beaucoup touchés
Les hommes de média sont beaucoup touchés par cette dépendance. Par exemple, un reporter voulant écrire un très bon article sur un sujet donné doit bien s’informer. Cette information passe par l’utilisation de ces technologies nouvelles. Le reporter voudrait être au cœur de l’information. Donc, il est toujours en train de chercher des informations fraîches et exclusives. Il devient ainsi dépendant de son ordinateur et d’internet. De nos jours tout le monde est un peu dépendant des nouvelles technologies, du trader au simple employé de bureau. Tous les secteurs d’activité sont concernés. L’important c’est de ne pas être trop accro. Alors donnez-vous des moments de plaisir et de détente loin de votre ordinateur et de tous ce qui pourraient troubler votre quiétude.
Lien:
Publié le 24.01.2012 sur http://www.come4news.com/la-dependance-aux-ntic-408947
25/01/12
Lien :
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/01/24/la-justice-americaine-limite-les-droits-de-la-police-dans-l-usage-du-gps_1633672_651865.html
Un article paru dans le Monde.fr du 24/01/2012.
22/01/12
Résumé :
La majorité des Québécois ont accès à un ordinateur et à un branchement internet, la moitié possèdent un ordinateur portable et le quart, un téléphone intelligent. Nous sommes branchés de plus en plus longtemps et les nouvelles technologies sont en train de bouleverser notre façon de vivre, de penser, de communiquer. La question n’est plus de savoir ce que peuvent accomplir tous ces nouveaux appareils, mais plutôt de nous demander: que pouvons-nous faire grâce à eux?
Lien :
http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/201201/20/01-4488014-un-nouvel-humain-est-ne-le-branche.php
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