La déconnexion volontaire aux TIC
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Article par admin
Les cadres « libérés » par leur smartphone
18/04/11
Article paru sur le site Le Point.fr le 03/02/2011 par Pauline de Saint Rémy: http://www.lepoint.fr/economie/les-cadres-liberes-par-leurs-smartphones-03-02-2011-135287_28.php
« Checker sa boîte pro », envoyer un « petit texto » entre le fromage et le dessert, rester connecté en permanence, y compris les week-ends… Un temps considéré comme de la frime, un excès de zèle ou une forme d’aliénation, ce genre d’attitude s’est très largement banalisé. Rares sont les cadres aujourd’hui qui ne disposent pas des moyens technologiques nécessaires pour travailler en plus de leurs horaires habituels. Mais, contrairement à une idée reçue, cette évolution, qui rend la frontière de plus en plus en plus poreuse entre vie professionnelle et vie privée, n’est pas si mal vécue par les premiers concernés.
Selon un récent sondage OpinionWay pour les éditions Tissot, 73 % des cadres équipés d’un outil de connexion à distance – type BlackBerry, smartphone et autres tablettes – affirment travailler en dehors de leurs heures de bureau. Chez eux, dans les transports, pendant leurs RTT, mais aussi, pour certains, pendant leurs congés maladie… Plus surprenant : les cadres sont presque autant (72 %) à se sentir « libérés » par la technologie, car ils estiment qu’elle les rend « plus responsables et épanouis dans la gestion de leur temps ». Seuls un quart d’entre eux se sentent à l’inverse « aliénés », considérant qu’Internet « fait insidieusement pénétrer le travail dans leur vie personnelle ».
Astuces
Pour Mathilde Bourrier, directrice du département de sociologie à l’université de Genève, ces chiffres s’expliquent par la forte capacité des cadres à « se protéger ». « Certains vont se sentir suivis, traqués. Notamment lorsque le BlackBerry ou l’ordinateur portable est à la charge de l’entreprise, cela crée une pression supplémentaire », explique-t-elle. « Mais en réalité, les études sociologiques montrent que les cadres s’en fichent très souvent. Il ne faut pas oublier qu’il s’agit de la catégorie où le plus de personnes considèrent leur travail comme une composante du bonheur. Ils sont souvent assez épanouis. Donc ils apprennent à vivre avec ces outils, ils mettent en place des stratégies, ils sont astucieux… »
Les cadres sont, en effet, les premiers à tourner ces nouvelles « contraintes » technologiques à leur avantage, en faisant entrer la vie privée au bureau : presque 80 % d’entre eux disent se servir d’Internet lorsqu’ils sont au travail, soit deux fois plus en moyenne que chez les salariés non-cadres, du public comme du privé. L’immense majorité reconnaît, en effet, volontiers surfer sur des sites d’information, d’achats en ligne ou encore des réseaux sociaux au travail. Une façon, donc, de mettre à profit les évolutions de leur métier.
Reste un effet pervers de cette porosité : d’un côté, Internet « libère » et permet d’être plus organisé, en faisant, par exemple, des courses sans sortir de son bureau ; de l’autre, le mélange des genres et le « toujours connecté » augmentent le « culte de l’urgence » et le sentiment d’être débordé. D’où l’émergence, pour l’instant marginale, d’une nouvelle tendance, comme s’en amuse Mathilde Bourrier : « À une époque, c’était un signe de distinction d’avoir son téléphone professionnel branché en permanence. Aujourd’hui, le chic serait plutôt de ne pas en avoir… » Avis aux chasseurs de tendances, donc : pour être in aujourd’hui, mieux vaut être out.
Les dérives d’Internet au travail
18/04/11
Publié par Amandine Crespin sur le blog de la Licence Professionnelle en Journalisme le 17/04/2011: http://lpjournalisme2011.wordpress.com/2011/04/17/les-derives-dinternet-au-travail/
Les technologies de l’information et de la communication prennent de plus en plus de place dans notre vie au point qu’elles nous accompagnent dans chacun de nos déplacements, aussi bien au bureau qu’au domicile. Le mobile, l’ordinateur portable et l’internet sont généralement accusés d’empiéter sur notre espace personnel puisque l’on peut ramener du travail chez soi, rendant ainsi la frontière de notre vie privée et vie professionnelle floue. Mais, on oublie parfois que la situation inverse est possible. Consultation de Facebook et autres réseaux sociaux sur le lieu de travail ainsi que l’envoie de mails personnels impliquent qu’on ramène du privée au bureau. C’est alors que commencent de possibles abus…
Qui ne connaît pas internet? Cet outil formidablement répandu en France dans les années 90 et qui depuis ne cesse de se développer. De nos jours, l’internaute accède à des pages de partage d’information (forums, blogs, réseaux sociaux, encyclopédies participatives,…), à des médias en ligne (télévisions, radios,…) et à des sites « e-commerce » (boutiques en ligne). Les particuliers s’y sont mis mais également les entreprises. Le taux de pénétration d’internet dans les grandes entreprises est supérieur à 95% tandis qu’il est de 85% dans les PME. Les sociétés ont une utilité du web car cela leur permet, entre autre, de rester en contact à distance avec leurs clients, situés dans le monde entier. Internet est un outil professionnel mais qui est de plus en plus utilisé à des fins privées au travail.
Double usage d’internet au bureau : professionnel et privé
Olféo, un spécialiste du filtrage d’URL, a réalisé une étude en 2010 sur l’utilisation d’internet au bureau. Il dresse le constat suivant : les salariés passent en moyenne quatre-vingt-quatorze minutes par jour sur la toile depuis le lieu de travail. C’est huit minutes de plus qu’en 2009… Parmi ce temps passé, cinquante-neuf minutes soit 63% sont dédiés à un usage strictement personnel…Imaginez-vous, seulement 37% du temps passé sur internet au bureau n’est réellement utilisé que pour le boulot !
Les principaux concernés sont… les cadres !
Dans un article paru en février 2011 sur le site pcworld.fr, Mathieu Chartier explique que les structures importantes bloquent les sites qui font perdre du temps à leurs employés tels que les sites de réseaux sociaux et les jeux. Mais, ils arrivent à détourner la connexion internet professionnelle par le biais des Smartphones par exemple.
Le cabinet d’études, Opinion Way confirme que 40% des français interrogés utilisent Internet dans le cadre privé depuis leur lieu de travail. 78% d’entre eux sont des cadres. En effet, un profil de travailleur particulier qui leur permet une grande autonomie de mouvement.
Y-a-t-il une réglementation sur l’usage d’internet dans les entreprises ?
A ce jour, aucun cadre législatif n’est prévu pour réglementer l’usage personnel d’internet au bureau. Pour rendre leur verdict, les juges pointent du doigt deux éléments dans ce genre d’affaire: « En premier lieu, il va vérifier la fiabilité du mode de preuve. En effet, en matière d’informatique, il est aisé de modifier le contenu d’un ordinateur sans que personne s’en aperçoive ». Et,« en second lieu, si le mode de preuve est accepté, le juge vérifiera la proportion entre les faits reprochés et la sanction infligée ».
A noter cependant que depuis quelques années, les employeurs adoptent au sein de leur entreprise des chartes de bonnes conduites à l’égard de l’usage d’internet dans le milieu professionnel. « Certaines sont des consignes de prudence ou de bonne utilisation des technologies. D’autres, en revanche, posent des obligations et des limites d’utilisation dont l’inobservation peut entraîner des sanctions ». Ces chartes sont soit annexées au règlement intérieur soit des documents portés à la connaissance des salariés.
La pause internet accroît la productivité des employés
Selon une étude réalisée auprès de 300 employés par le Docteur Brent Cokerde l’Université de Melbourne en Australie, surfer sur Internet pour le plaisir au travail améliorerait la productivité et la concentration…ceci dans la limite du raisonnable, à savoir, 20% du temps en entreprise. Il est démontré que 9% des personnes observées sont plus productives.
L’étude réalisée en 2010 par Olféo révélait que cinquante-neuf minutes par jour et par employé étaient dédiées à un usage personnel, soit 14% du temps du salarié. Unedurée qui ne prête donc pas à polémique. Mais, certains passent des heures et des heures sur internet, non pas lié à un besoin professionnel mais bien pour des recherches personnelles ou des discussions sur des réseaux sociaux.
Les risques encourus pour abus ?
Les tribunaux vont jusqu’à reconnaître que l’utilisation d’internet à des fins personnelles peut être un motif de licenciement, comme en témoigne certains procès. En exemple, celui à Toulouse en 2009 où l’individu a été licencié pour faute grave le 1er février 2005. « Les relevés de connexion au réseau Internet à partir de ce poste font apparaître durant le mois de décembre 2004 des connexions très fréquentes, plusieurs fois par jour pour des durées parfois très longues (10 fois plus d’une heure, 4 fois plus de deux heures) pour une durée totale de plus de 41 heures.
Surfer sur la toile à titre personnel sur le lieu du travail n’est pas mal perçu par les employeurs si la durée de connexion reste « normale ». Surtout qu’ils ne vous diront rien dans la mesure où cette pause internet est source de productivité mais elle ne doit pas excéder 20% de votre temps quotidien au bureau. La frontière entre ce qui est toléré et ce qui est considéré comme abus est assez floue, et qu’il vaut mieux faire attention…
Non déconnexion au travail: à qui la faute?
18/04/11
Emportables partout, les technologies de la communication sont un vrai fil à la patte pour les cadres. Le cordon est très difficile à couper. On incrimine souvent ces technologies d’être à l’origine d’un nouvel esclavagisme. Peut-on approuver de cette accusation ? Sont-elles les seules responsables de la non-déconnexion des cadres au travail pendant le temps libre ?
Être « cadre » se caractérise par un grand dévouement à l’entreprise, parfois au détriment de sa vie privée. La durée de travail des cadres est impossible à déterminée. D’où une contractualisation au forfait-jour.
Mais, depuis l’expansion des technologies de l’information et de la communication (Internet, messagerie instantanée, Iphone,…), cette implication se renforce. Beaucoup de cadres continuent à travailler après leurs 8 heures de travail notamment à cause de l’accroissement du volume de travail par ces technologies de communication.
Selon l’enquête commandité par la CGC (diapositive « Influence des TIC sur le stress au travail) en novembre 2010, environ 83% des cadres français questionnés affirment que les outils de communication accroissent le volume d’informations à traiter et 80% disent que ces outils poussent à traiter des informations en dehors de l’entreprise et des horaires de travail.
La difficulté de se déconnecter du travail est amplifiée avec ces nouveaux outils d’information et communication.
Mais en réalité, sont-elles fautives de cette non-déconnexion ? D’autres réalités professionnelles souvent oubliées sont à considérer…
Le contrôle temporelle
Le contrôle de la durée du temps de travail (Stratégies de contournement de la durée du travail)peut expliquer la difficulté de la non déconnexion. Des sociétés étendent le principe du taylorisme dans la profession des cadres. Ainsi, ils doivent pointer à leur arrivée et à leur sortie de l’entreprise. Le but est de respecter la durée légale du travail inscrite dans le Code du travail (13 h maximum de travail quotidien). Ces contraintes de mesure du temps donnent parfois lieu à des stratégies de contournement. Par exemple, le salarié peut emporter son travail chez lui, car la masse de travail ne peut être condensée en 8h. Autre stratégie de détournement est la pratique du « débadgeage » est assez répandue : le cadre fait semblant de quitter l’entreprise en pointant à la sortie, et il retourne immédiatement à son poste de travail pour continuer. Autre stratégie de détournement : emporter son travail au domicile, possible avec les technologies de la communication.
La compétition
La concurrence entre les entreprises (4.2.3. Travailler à développer les usages) est un facteur important à prendre en compte. Cette situation peut empêcher les cadres à couper de leur travail pendant les vacances. Ils se sentent obligés à se relier à leur entreprise, à leurs équipes par le biais des mails ou des coups de téléphone pour rester au courant des initiatives de leurs pairs et de leurs concurrents. C’est une manière de raccrocher le wagon en route plus facilement et rapidement. Un gain d’efficacité et de résultats, nécessaire à une situation de concurrence.
Les buts de travail
Les objectifs de travail sont une cause importante de la non déconnexion. Souvent jugés irréalistes par les cadres dans les délais imposés, ces objectifs provoquent une surcharge de travail. Une charge telle que celui-ci s’immisce au domicile pendant le temps libre. Selon le sondage de la CFE-CGC « Baromètre Stress, vague 10 », (pdf, p.11), 35% des cadres questionnés (échantillon de 1016 personnes) considèrent les objectifs de la direction « plutôt pas réalisables ».
Un management mis en cause
La pression temporelle, les objectifs irréalisables et la course au gain de productivité et aux résultats face aux concurrents construisent une situation de non déconnexion au travail. Finalement, les technologies n’ont rien à voir, la cause principale est le management pratiqué dans l’entreprise.
Tout un chacun peut couper avec ces outils de communications. Mais au risque et péril du travailleur. Certains cadres réussissent à dire non et à poser des limites. Une action vue de mauvaise oeil par la direction car elle est considérée comme rebelle. « Quand les cadres se rebellent », ouvrage écrit par deux sociologues, David Courpasson et Jean-Claude Thoenig décrit plusieurs cas de rébellion. Ils montrent que ces actes sont loin d’être des pétages de plomb mais une révélation d’un management trop hégémonique.
Publié par cleliagauthier le 06/04/2011 sur la blog de la Licence professionnelle Journalisme : http://lpjournalisme2011.wordpress.com/2011/04/06/non-deconnexion-au-travail-a-qui-la-faute/
Pisté par son portable, un politicien allemand se rebelle
1/04/11
Article paru sur Rue89 le 31/03/2011: http://eco.rue89.com/2011/03/31/piste-par-son-portable-un-politicien-allemand-se-rebelle-197948
En Allemagne, Malte Spitz, un responsable des Verts a poursuivi son opérateur téléphonique en justice pour obtenir toutes les données récoltées grâce à son portable. Le résultat ? Une carte interactive à la fois fascinante et effrayante, puisque les données ont permis de reconstituer une bonne partie de sa vie.
La démonstration est encore plus frappante avec cette vidéo réalisée par le site Future Journalism Project. Elle ne porte que sur deux jours dans la vie de Malte Spitz, bien assez cependant pour démontrer qu’un portable permet de suivre toutes vos allées et venues.
Malte Spitz, 26 ans, est membre de l’exécutif des Verts allemands. Sa spécialité : dénoncer les atteintes à la vie privée. Et notamment, les risques liés aux données de localisation transmises automatiquement par les téléphones portables, et conservées ensuite par les opérateurs.
Comme il le raconte sur son blog, Malte Spitz a voulu tenter une expérience. Il a réclamé les données le concernant à T-Mobile, filiale du géant Deutsche Telekom. Refus catégorique. La justice lui a finalement donné raison en mars 2010 : l’opérateur a dû lui transmettre les données portant sur les six mois précédents.
Localisé plus de 35 000 fois en six mois
Sur le fichier Excel fourni par T-Mobile, Malte Spitz a découvert qu’il avait été localisé au total 35 831 fois entre août 2009 et février 2010. Il a ensuite confié ces données brutes au site de l’hebdomadaire Die Zeit, qui en a tiré une carte interactive impressionnante : on peut y suivre tous les déplacements de Malte Spitz, du moins tous ceux au cours desquels son portable était allumé
Les journalistes du Zeit sont allés un peu plus loin. Malte Spitz n’est pas un homme politique de premier plan, mais il est engagé dans la vie publique : ses activités laissent des traces, sur les sites web comme sur les réseaux sociaux. En associant ces informations aux données brutes fournies par T-Mobile, on peut donc expliquer non seulement où le jeune politicien se trouvait, mais aussi ce qu’il y faisait.
Une vie entière retracée grâce au portable
Tirant le bilan de l’expérience, le site du Zeit explique :
« Prises une par une, les données ne présentent pas beaucoup d’intérêt ou de risques. Mais prises toutes ensemble, elles nous fournissent ce que les enquêteurs appellent un “profil” – une image claire des habitudes et des préférences d’une personne et, donc, de sa vie.
Ce profil révèle quand Spitz a marché dans la rue, quand il a pris le train, quand il a pris l’avion. Il nous montre où il se trouvait exactement dans les villes dans lesquelles il se rendait. Il nous montre quand il travaillait et quand il dormait, quand il était joignable par téléphone ou non. Il nous montre quand il préférait parler au téléphone ou envoyer des SMS. Il nous montre quels “biergarten” [littéralement “jardins à bière”, bars en plein air typiquement allemands, ndlr] il fréquentait quand il avait du temps libre. En somme, il révèle toute une vie. »
Pour Malte Spitz, la démonstration est faite. D’autant que les utilisateurs n’ont aucun contrôle sur ces données, transmises automatiquement par le portable lui-même. Et pas seulement par les applications qu’on a choisi d’y installer, comme le service de « géolocalisation » Foursquare, qui piste les consommateurs des restaurants et des commerces.
Pourtant, les données rendues publiques par Malte Spitz n’ont rien révélé de vraiment gênant, assure l’intéressé au New York Times. « Je passe l’essentiel de mon temps dans mon quartier », explique-t-il. Seul détail gênant, il préfère parfois l’avion au train, mode de transport pourtant plus écolo : pas terrible pour un responsable Vert, admet-il.
- François Krug
Atos Origin et la suppression des e-mail internes
31/03/11
Je vous propose une séléction d’articles sur la décision de Thierry Breton, PDG d’Atos Origin, de supprimer l’e-mail interne dans un avenir proche.
- Atos Origin abandonnera l’e-mail interne dans trois ans, article de Marc Cherki publié en ligne le 08/02/2011 dans Le Figaro: http://www.lefigaro.fr/societes/2011/02/07/04015-20110207ARTFIG00670-atos-origin-abandonnera-l-e-mail-interne-dans-trois-ans.php
- Thierry Breton (Atos Origin): «L’e-mail n’est plus un outil approprié», paru sur silicone.fr le 7/02/2011, écrit par Christophe Lagane: http://www.silicon.fr/thierry-breton-atos-origin-le-mail-nest-plus-un-outil-approprie-desormais-44716.html
- Atos Origin se fixe un objectif « zéro emails » pour 2014, publié sur le site en ligne Le Monde informatique par Maryse Gros, le 15/02/2011: http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-atos-origin-se-fixe-un-objectif-zero-emails-pour-2014-32911.html
- Atos Origin : vers le « zéro mail » dans l’entreprise, publié par la rédaction du site 01net le 08/02/2011: http://www.01net.com/editorial/527948/atos-origin-vers-le-zero-mail-dans-lentreprise/
Les commentaires des internautes sont très intéressants car ils ouvrent une comparaison entre les différents outils de travail (messageries instantanées, boites e-mails…) par rapport à la gestion du temps.
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