La déconnexion volontaire aux TIC
Article tagué addiction
L’addiction aux nouvelles technologies nous mènera-t-elle à notre perte ?
12/01/12
Résumé:
Aux États-Unis, de plus en plus d’accidents de la route sont dus à l’utilisation d’appareils électroniques pendant la conduite. Et si les nouvelles technologies faisaient de nous des esclaves au lieu de nous simplifier la vie ?
Lien:
http://www.atlantico.fr/decryptage/addiction-nouvelles-technologies-262383.html?google_editors_picks=true
Etes-vous dépendants aux nouvelles technologies ?
12/12/11
Résumé :
Choisir le prénom d’un enfant à naître, rien qu’en posant son téléphone sur le ventre de la future maman, c’est la dernière application pour smartphone à la mode. Depuis plusieurs années, les innovations technologiques sont faites principalement pour faciliter le quotidien des consommateurs. Toutefois, plusieurs études montrent une réelle dépendance de ces-dits consommateurs face à la technologie.
http://www.marieclaire.fr/,dependance-technologie,20258,443995.asp
Les jeux d’argent en ligne sont plus addictifs que les jeux traditionnels
17/10/11
Selon une étude , 600000 Français sont dépendants, toutes catégories confondues. Le profil du joueur excessif : un homme d’une quarantaine d’années aux revenus faibles.
Jeux de grattage, de tirage, PMU, machines à sou… En France, 600000 personnessont dépendantes au jeu, selon la première quantification réalisée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) publiée vendredi 16 septembre. L’étude avait été demandée par le gouvernement avant l’ouverture du marché des jeux en ligne en 2010. Si elle ne peut donc en mesurer l’impact, elle analyse les comportements de joueurs qui, avant même l’entrée en vigueur de la loi, s’adonnaient aux jeux d’argent sur le Web. Et montre que les risques d’addiction méritent d’être surveillés de près.
Près d’un Français (âgé de 18 à 75ans) sur deux joue de l’argent au moins une fois par an. Autour de 10% de la population joue au moins une fois par semaine et/ou au moins 500euros par an. Parmi eux, l’OFDT a calculé le nombre de
joueurs dits «problématiques». Ils sont 400000 à présenter un «risque modéré» (susceptibles de se trouver en difficulté en jouant), et 200000 à être considérés comme joueurs excessifs. Ceux qui perçoivent qu’ils ont un problème, seul
ou à travers le regard des autres.
Le profil des joueurs excessifs ? Ce sont encore plus souvent des hommes que les joueurs actifs sans risque (75,5% contre 62,7 %), et ils sont plus jeunes (41 ans contre 47). Ils misent davantage et la gamme de jeux à laquelle ils s’adonnent est plus variée. Ils se caractérisent aussi par leur précarité financière : 57,8% déclarent un revenu mensuel inférieur à 1100 euros par an, contre 7,1% pour l’ensemble des joueurs actifs. Plus d’un tiers ne possède aucun diplôme. L’étude fait apparaître un lien fort entre addiction aux jeux et consommation problématique d’alcool, de tabac ou de cannabis. Ainsi, 26,3% des joueurs excessifs ont un risque de dépendance à l’alcool, contre 3,2% dans la population générale. Avec 1,3% de joueurs problématiques, la France se place à un niveau plus bas que d’autres pays, comme les Etats-Unis (5%), l’Italie ou la Grande-Bretagne (autour de 2 %). Mais, au sein des joueurs actifs, on compte plus d’excessifs parmi ceux jouant sur le Web. Ainsi, parmi les adeptes du poker et des jeux de pronostics en ligne, la prévalence de joueurs excessifs peut atteindre 10%.
Offre de soins
La question des jeux d’argent en ligne se pose donc. Une nouvelle étude devrait être lancée en 2012 ou 2013, dit-on à l’Observatoire des jeux, créé par la loi. Et le ministère de la santé explique qu’un volet « jeux » sera inclus dans le prochain Plan addiction de 2012, précisant que, sur le terrain, l’offre de soins se développe. «On ne peut pas dire que beaucoup ait été fait pour l’instant, alors qu’avec l’ouverture des jeux en ligne, des fonds avaient été promis pour les centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie, nuance Jean-Pierre Couteron, président de la Fédération addiction,qui regroupe des structures médico-sociales. Les équipes se débrouillent comme elles peuvent pour développer leurs compétences.»
La loi prévoit que 0,006% des mises du poker et 0,05% des paris soient reversés à la lutte contre la dépendance. En un an, 10 milliards d’euros ont été joués en ligne. L’enquête est rendue publique alors que les opérateurs veulent obtenir un assouplissement de la loi. Depuis 2010, 39 opérateurs ont été agréés, et ont vite dénoncé le poids de la fiscalité. Le texte prévoyait une clause de révision fixée à novembre. Début septembre, le Comité consultatif des jeux s’est prononcé pour un allégement fiscal. Reste au gouvernement à trancher. Son objectif était de maintenir les recettes fiscales à 5milliards d’euros par an. En ces temps de contrainte budgétaire, il semble difficile de revenir dessus. S’il fait le choix d’un allégement fiscal, il devra miser sur le « jouer plus » pour maintenir ses recettes.
Laetitia Clavreul
et Laurence Girard
Source: Le Monde du 19/09/2011
Why They Stopped Using Foursquare
1/09/11
This may be shocking news, but not everyone’s actively managing their identities on 10 social networks and 50 location-based mobile services. Some early adopters have even reached a point where they feel they’ve been adopting a little too early. They’re the ones we’ll hear from today.
When I recently browsed my Foursquare contacts – admittedly to remove some dead weight because I was getting too close to the 1,000 friend limit – I saw that a number of friends had stopped using it. I wanted to know why, and several were kind enough to share their stories.
This isn’t about bashing Foursquare. The majority of my friends are active users, with their most recent check-in happening within the past week. Yet to acknowledge the obvious, most people – even most smartphone owners – have never used Foursquare. Those who tried Foursquare and stopped are in a unique position to speak to some of Foursquare’s challenges, and some of the challenges for location-based services in general. Interestingly, as I was soliciting opinions for this piece, Facebook killed its Places check-in service, and distant runner-up Gowalla killed off some of its popular features. So it’s an especially important time to understand the user value proposition of social location-based services.
Below are several thoughts on why people stopped using Foursquare, along with the date of their last check-in. For more thoughts on this, you can find a vibrant discussion on Google+.
Robert Wollner (April 2010): I don’t like people knowing where I am and what I am doing unless it is very fun and very exciting. Similar to the value of Google+, I don’t like the idea of coworkers, friends, family, and clients knowing what I am doing at all times.
Anonymous (December 2010): In truth, I didn’t check in on Facebook all that much so I guess I won’t miss it much anyway, and I don’t plan to start using Foursquare again. I only ever used Foursquare and Facebook to check in when I was somewhere I wanted to remember or when I was somewhere with a group of « real life » friends (which Facebook is better for). While I played with Foursquare for a while, I didn’t really get any benefit from it. The location-based deals idea is interesting though if it ever takes off. I’d love to get the benefit of deals for being a regular at places I like.
Walt Ribeiro (June 2010): I used to be a huge Foursquare user, but yes, I haven’t touched it in more than a year. When Facebook places came out I stopped using Foursquare that very day. Then I began using Facebook less, and as a result haven’t ‘checked in’ much at all. All the investment I had to do in order to become a mayor, just to save 10% on a $2.00 soft drink seemed senseless to me when I began to look at the time I was investing in these companies. That, and the idea of « investing social capital » was not something I wanted. My friends and followers don’t care where I am, it had nothing to do with my music company or music fans, so the whole thing seemed more like a fad than a business strategy.
Jeff Rutherford (August 2010): Social media fatigue. I’ve used SCVNGR, which I liked a lot more than Foursquare, but even with SCVNGR I’m not a regular user. I do use social media a lot, but checking in to physical spaces is something I only do occasionally. I have two small kids, and everything I do in social media I question the time spent vs. what I’m gaining. Checking-in to physical locations ranks pretty low, so I don’t do it that often.
Susan Bratton (February 2011): A boring waste of time. Something someone else wants me to do for them. No value. Focused on my own deliverables. Feel the same about Google+.
Ian Jindal (May 2011): I initially had fun with Foursquare – easy mayorships, interesting places and some discovery. After a while though the game became too much: my wife complained, my roaming fees increased… Then a few small things started to annoy me [that] culminated in my abandoning Foursquare and deleting the app They were, in no particular order:
- I didn’t care where other people checked in. It was Twitter spam. I didn’t find anything of interest in real-time and none of my followers or real life friends cared either (i.e. no utility, no fun).
- The check-in is too crude. Places mixed with events and so the purpose/benefit is reduced. May as well just tweet with the location turned on.
- Other than mayorships, there’s nothing else to the game.
Taken together, the brief game magic evaporated. There’s only room in one’s life for a couple of systems and between Twitter, microblogging, TripIt and one experiment (currently Google+), that’s me full . Of course I’m 45 and currently feeling rather grumpy, so I’d not assume that this is a general position
Ian and others are hardly grumpy. They’ve just figure out what works for them, and in these cases, Foursquare doesn’t. For a much greater group of people, Foursquare hasn’t made the case yet to try it out. The value of these mobile social services is evolving, and it’s something that Foursquare, its peers, brands, marketers, and of course consumers will have to figure out.
So where do you stand? Share your thoughts on the Social Media Insider comments, in Google+, or if you’re so passionate about it, create an event on Foursquare and leave your opinion as a tip.
Article publié par David Berkowitz, le 30/08/2011 sur Social Media Insider.
Lien: http://www.mediapost.com/publications/?fa=Articles.showArticle&art_aid=157681
Un fil à la patte. Enquête sur le techno-stress, fléau de notre époque
30/08/11
Une contribution sur le site de la Télévision Suisse Romande.
Lien:
http://www.tsr.ch/video/emissions/mise-au-point/3357416-un-fil-a-la-patte-enquete-sur-le-techno-stress-fleau-de-notre-epoque.html#id=3357416
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