La déconnexion volontaire aux TIC
Thierry VENIN
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Article par Thierry VENIN
Le Figaro Madame se déconnecte
20/01/11
Publié par Thierry Venin sur son blog (http://www.cooldone.com/blog/) le 29/09/201
Sous le titre « Déconnecter », Nolwenn Le Blevennec signe un bel article dans l’édition du 28 septembre du Figaro Madame.
« SAUF À PARTIR DANS UN DÉSERT À L’AUTRE BOUT DE LA TERRE OU À SE RÉFUGIER DANS UN MONASTÈRE, DIFFICILE DE SE COUPER DU MONDE POUR SE RESSOURCER DANS UNE SOCIÉTÉ OÙ, TECHNIQUEMENT, ON PEUT CONSULTER SES E-MAILS DEPUIS SON BAIN.
Paru le 28.09.2010, par Nolwenn Le Blevennec
Les feuilles rousses, qui craquent sous nos pieds, mettent un peu d’ambiance. Le jardin du couvent des frères Carmes (et de son centre spirituel) est coloré et vivant, ce qui ne manque jamais d’émouvoir les laïcs épuisés de passage. Ils sont de plus en plus nombreux à venir ici, non pas pour les offices, mais « pour se libérer des esclavages modernes et retrouver une qualité de temps », selon frère Denis Marie. Bref : pour se dé-con-nec-ter ! Une croix du carmel en bois et une médaille de baptême en or dépassant de son polo rayé, le frère Denis Marie, l’air juste et bonhomme de François Hollande, nous fait visiter des chambres très sommaires, « un lit, un bureau, un lavabo ». Il nous explique qu’ici les non-croyants se fichent de la déco, qu’ils recherchent la nature et le silence. Et surtout, l’absence d’outils technologiques – ni téléphone portable ni Wi-Fi dans l’enceinte.
Le monastère est perçu par ces agnostiques comme un refuge qui permet d’échapper à un quotidien devenu infernal. Et dont la cadence, de plus en plus intense, inquiète de nombreux observateurs.
Dans Accélération, son dernier livre (La Découverte), le sociologue allemand Hartmut Rosa démontre que le progrès technique a entraîné, ces dernières années, l’accélération du rythme de vie. En France, Jean-Louis Servan-Schreiber, auteur de Trop Vite ! (Albin Michel), pense également que les smartphones peuvent nuire à l’existence.
Le chercheur Thierry Venin explique le mécanisme de compression du temps : « Les nouvelles technologies impliquent un plus grand flux d’informations et une impatience sociale de traitement. » S’ajoute à cela un phénomène d’addiction. « Les gens ont toujours été ravis de recevoir du courrier et, plus il y en a, mieux c’est. Ils s’y noient, c’est un miroir de l’ego », analyse Jean-Louis Servan-Schreiber. « La réception d’un e-mail est aussi addictif que le sucre. Cela s’explique par une appétence de l’esprit pour ce qui est nouveau », renchérit Christophe André, psychiatre à Sainte-Anne. Dès lors, la déconnexion ne peut se réaliser que dans la radicalité et dans l’exil. Courage, fuyons.
REGARDER LES VACHES
Pour débrancher, l’écrivain de romans policiers Gilles Bornais prend ses quartiers dans un autre centre, à l’abbaye du Bec-Hellouin, dans l’Eure. « C’est la troisième fois que j’y vais, cette année. Je ne peux pas y être dérangé. Un e-mail met trois jours à se télécharger », raconte-t-il. Entre deux chapitres, sa seule distraction consiste à regarder des vaches et des canards par la fenêtre. « C’est mieux qu’un cyprès qui, croyez-moi, peut vous rendre neurasthénique. » Le soir, il dîne avec des moines qui lisent Kant à voix haute. En rentrant, il pense toujours la même chose : « Que nous sommes abreuvés d’informations futiles, comme l’état du rhume d’un joueur de l’équipe de France. En allumant la radio, je comprends que je retourne chez les dingues. » Pour ceux qui trouvent la compagnie bovine vaine ou anxiogène, il existe des options plus fun. On pense à Otis Redding, et son Dock of The Bay.
Jean-Philippe, qui travaille dans une entreprise pharmaceutique et reçoit en moyenne cent e-mails par jour, s’envole lui pour Bird Island, aux Seychelles : « La première fois, je ne savais pas qu’il n’y aurait aucune connexion. J’ai paniqué pendant quelques heures. Finalement, je suis sorti du monde pendant un mois », (une semaine en réalité, c’est un lapsus). Sur cette île confetti, dont on fait le tour à pied en trente minutes, il a pu se perdre dans ses livres et ses pensées intérieures. « Aucun cumulus du monde que l’on connaît n’est venu perturber cela », se souvient-il. C’était délicieux. Et il y retourne dans quelques semaines.
JETER SON PORTABLE
Heureusement, il est possible de se déconnecter sans bouger de son siège pivotant. Une attachée de presse nous raconte qu’elle s’est « suicidée » de Facebook, il y a deux ans : « Je ne suis plus invitée aux soirées et aux mariages, mais je ne regrette rien. » Le fondateur du magazine Têtu, Didier Lestrade, a quant à lui fini par jeter son portable, en 2006. « J’ai un téléphone fixe et les conversations téléphoniques peuvent se programmer par e-mails. La plupart des choses qui se disent sur un portable ne sont, de toute façon, pas intéressantes. » Le journaliste envisage pourtant de s’acheter un iPhone, l’année prochaine : « Je repousse tant que je peux, car je sais que je vais perdre en qualité de vie, mais je ne veux pas être largué au point de ne pas savoir me servir de cet outil. J’essaierai de le contrôler et de l’éteindre de temps en temps. » C’est toute la difficulté. « Quand ils envisagent de se déconnecter, les gens sont dans des fantasmes de cabane dans les bois ou de retour à l’âge de pierre et manquent parfois de pragmatisme », regrette Jean-Louis Servan-Schreiber.
L’urgence est en effet d’apprendre à maîtriser les flux. Il existe des options sur le téléphone et les boîtes e-mail qui permettent de rendre ces outils moins invasifs. La chercheuse Joanne Yates, auteur d’une étude sur l’addiction au BlackBerry (Crackberry) s’insurge notamment contre le « push mode », qui consiste à recevoir des e-mails, sans avoir sollicité sa boîte. Selon Pierre Mounier, professeur à l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales) et responsable de Cléo (Centre pour l’édition électronique ouverte) : « Un retour en arrière n’est ni envisageable ni souhaitable, mais une prise de conscience est nécessaire. Et l’école a un énorme défi à relever. Il faut apprendre aux citoyens à ne pas se laisser envahir. »
CALME, LENTEUR ET CONTINUITÉ
Un excès de communication pourrait avoir de graves conséquences… « Il existe une liste d’aspects cognitifs indésirables, liés à l’utilisation de ces technologies, comme l’émiettement du travail ou le manque de concentration », explique Thierry Venin. Le psychiatre Christophe André, auteur des États d’âme. Un apprentissage de la sérénité (Odile Jacob), renchérit : « Il y a un effet psychotoxique lié à la sursollicitation. Pour notre équilibre mental, notre cerveau a besoin de séquences de calme, de lenteur et de continuité, comme le corps a besoin d’exercice. » Quand il reçoit des patients dépressifs, le médecin leur demande, entre autres, s’ils dorment avec leur portable sur la table de nuit…
En confisquant le téléphone de sa seconde fille, Christophe André raconte avoir vu passer une trentaine de SMS entre 21 heures et minuit. Les juifs vivent ce genre de « confiscations » tous les samedis, et ne s’en portent pas plus mal.
Le rabbin Gabriel Farhi aime prendre son repas sans avoir son portable à côté de l’assiette. « On coupe toutes les connexions, pour recréer des liens essentiels et directs avec Dieu et sa famille », explique-t-il. Le rabbin, qui admet que les dernières heures du Shabbat sont les plus difficiles – « on a quasiment le doigt sur le bouton de l’ordinateur » – conseille néanmoins à tout le monde de se fabriquer « ses petits Shabbats ».
C’est un peu ce que fait Jean-Philippe, le chanceux des Seychelles. En route pour un colloque à Berlin, il a décidé de ne pas emporter son ordinateur. Il s’est dit que cela le forcerait à se connecter à son environnement, plutôt qu’à sa boîte de réception. »
Temps réel, temps irréel ?
20/01/11
- Thierry VENIN (publié sur son blog http://www.cooldone.com/blog/ le 27/10/2010)
Les causes du « Flash Crash » qui a vu les cours de Wall Street s’effondrer le 6 mai 2010 seraient élucidées.
C’est en tout cas ce que prétend un rapport de 104 pages publié le 30 septembre par les autorités financières américaines (SEC et CFTC).
En substance (Le Monde du 5 octobre 2010), un programme informatique complexe (High Frequency Trading) permettant une vente massive de titres en quelques minutes opérée par un courtier serait à l’origine du crash. Dit autrement, l’exécution par un gérant de fonds d’une vente de 75 000 contrats à terme pour un montant de 4,1 milliards de dollars, au moyen d’un logiciel algorithmique programmé pour placer les ordres de vente en fonction de la quantité de ces contrats par rapport au volume global sur ce marché, mais sans égard au prix ni au temps dans l’exécution des transactions, aurait provoqué l’effondrement éclair de Wall Street. Une explication plus complète et plus technique est par exemple disponible en français à cette adresse : http://cms.unige.ch/droit/cdbf/spip.php?article697
Dans un monde financier où la sophistication technique et la vitesse constituent de plus en plus des avantages concurrentiels déterminants, les autorités boursières américaines semblent embarrassées pour mettre en place des mesures efficaces de nature à empêcher que se renouvelle ce type d’accidents. « Nous devons examiner quelles autres mesures axées sur l’investisseur sont nécessaires pour faire en sorte que nos marchés soient équitables, efficaces et résistants, maintenant et pour les années à venir » a déclaré Mary Schapiro, présidente de la SEC, près de six mois après les faits.
De nombreux blogs financiers relaient désormais cette question : « Comment ralentir le trading à haute fréquence ? ». Cette question est également reprise par le sénateur Schumer qui en fait un cheval de bataille.
Dans le « même temps » où des milliards disparaissent comme par enchantement, la valeur « Temps Réel » continue d’être ardemment promue notamment par Google, constituant pour chaque nouveau service un de ses arguments promotionnels majeurs : indice des prix en temps réel, feu Google Waves et sa frappe vue en temps réel par les correspondants (caractère par caractère), et plus récemment son nouveau « Real Time Search ». En effet, la pertinence mesurée par l’accumulation d’occurrences dans les pages web n’est plus assez rapide pour prendre en compte les échanges éphémères des réseaux sociaux type Facebook ou Twitter.
La recherche en temps réel est donc devenue un enjeu majeur pour Google mais aussi Microsoft ou des start-ups comme OneRiot ou Sency (Le Monde du 23 avril 2010)
Emblème de cette tendance, Amit Singhal (Google), met en évidence des stickers « slow sux » (qu’on pourrait traduire par « la lenteur craint » ?). Les marchés financiers partagent-t-ils désormais sans réserve cette valeur ?
Ce n’est définitivement pas le cas du « Slow Movement » qui se développe et se décline en « Slow Food », « Slow Travel » ou encore « CittaSlow » (villes lentes) que vient de rejoindre Segonzac dans les Charentes.
Le temps réel est-il une valeur nécessairement positive ? Saluons en tout cas l’émergence d’un beau débat de société !
Nouvelle enquête sur le stress au travail
20/01/11
- Thierry Venin (publié sur son blog le 25/11/2010)
L’ANACT signale la parution d’une nouvelle enquête opérée par l’Institut de Médecine Environnementale sur le stress au travail.
Notre thème (stress au travail et TIC) n’est pas abordé mais cette étude est originale et intéressante. Elle confirme la grande proportion de stress au travail et en affine les contours, notamment quand au stress « auto-infligé » (notion à aborder avec précautions).
66% des 3052 répondants s’estiment davantage stressés que leurs collègues. Ce chiffre, par définition impossible, est par exemple riche d’enseignement.
Cette enquête est téléchargeable sur le site de l’ANACT ou sur celui de l’IME.
Voici ce qu’en dit l’ANACT :
En développant une méthodologie innovante et son propre questionnaire, l’IME souhaite se donner les moyens d’analyser plus finement le rôle et l’interaction de la réceptivité individuelle face au stress avec les dimensions managériale et organisationnelle de la vie au travail.
Plus de 3 000 personnes ont participé, du 25 mai au 25 juillet 2010, à l’étude nationale IME sur le stress au travail. Les premiers résultats de l’étude IME sur le stress au travail, dévoilés en avant première au Siège de l’Express fin septembre, sont à la fois préoccupants (plus de la moitié des personnes interrogées disent qu’elles sont stressées au travail) et porteurs d’un éclairage nouveau sur :
- le stress au travail (« stressabilité » / « stress pathologique »),
- ses causes profondes (individuelles / managériales / organisationnelles)
- et les actions prioritaires à mener pour les traiter et ainsi mieux prévenir les Risques PsychoSociaux (notamment en développant la « biocompatibilité » de l’organisation, des postes et du management).
Il serait souhaitable que ce type de publication qui prennent vite valeur d’affirmation lors des multiples reprises sur des sites Internet (comme ici) ou par des médias soit accompagné de renseignements plus précis quant à leur méthodologie (constitution des échantillons etc.).
France Télécom : l’arbre qui cache la forêt du stress au travail ?
20/01/11
- Thierry VENIN (publié sur son blog http://www.cooldone.com/blog/ le 04/06/2010).
Un article paru dans l’Express.fr le 3 juin 2010 titre « La Poste victime du syndrome France Telecom ».
Dans notre pays au moins, France Télécom serait-il devenu LA référence en matière de stress au travail ?
L’enquête également publiée le 3 juin 2010 par l’Agence Européenne pour la Sécurité et la Santé au Travail (EU-OSHA) permet hélas d’en douter.
Cette enquête est présentée par l’Agence européenne comme la plus grande enquête jamais menée en Europe (31 pays, 36 000 entretiens téléphoniques), à mi-parcours de la stratégie communautaire 2007-2012 en faveur de la santé et de la sécurité au travail.
La principale conclusion porte sur l’accentuation de la préoccupation concernant les risques psychosociaux tels que le stress, la violence et le harcèlement.
- 4 dirigeants européens sur 5 se disent préoccupés par le stress lié au travail (79%)
- Ceci place le stress au travail presqu’au même niveau de préoccupation que les accidents de travail (80%)
- Le stress au travail est désormais reconnu comme pesant lourdement sur la productivité européenne : de 3% à 4% du produit national brut (PNB) européen.
- Ce PNB est estimé à 16 180 milliards de dollars (source CIA World Factbook) .
- Selon ce rapport, le coût du stress au travail en Europe s’élèverait donc à 647 milliards de dollars soit (au cours de l’euro au jour de publication : 1.2034 et sur la base de 4%) à plus de 537 milliards d’euros
- Pour autant, les actions de préventions semblent tarder à être mises en place et le directeur de l’Agence s’inquiète qu’en moyenne seulement 26% des entreprises aient mis en œuvre des mesures préventives.
Enfin, le rapport prend acte de la profonde évolution de nos environnements de travail et de l’émergence de risques nouveaux (liés aux nouvelles technologies notamment) et il encourage la recherche sur ces nouveaux risques. Le rapport n’est-il pas intitulé « Enquête européenne des entreprises sur les risques nouveaux et émergents » ?
Lien du communiqué de presse :
http://osha.europa.eu/fr/press/press-releases/79-of-european-managers-are-concerned-by-work-related-stress-but-less-than-a-third-of-companies-have-set-procedures-to-deal-with-it-1
Lien du résumé en français :
http://osha.europa.eu/fr/publications/reports/fr_esener1-summary.pdf
Lien du rapport complet (en anglais) :
http://osha.europa.eu/en/publications/reports/esener1_osh_management
15ème campagne d’enquête de la CGC sur le stress au travail
20/01/11
- Thierry Venin (publié sur son blog http://www.cooldone.com/blog/ le 22/12/2010.
Dans le cadre de son baromètre sur le stress au travail (15ème campagne), la CGC a renouvelé pour la 3ème fois consécutive les questions sur l’influence des TIC sur le stress au travail. Cela fait donc 1 an et demi que les mêmes questions sont posées sur notre thème, ce qui est évidemment très précieux. Un grand merci donc à la CGC et plus particulièrement au Docteur Salengro.
Cette enquête a été réalisée par OpinionWay en novembre 2010 auprès d’un échantillon représentatif de la population des cadres français (1045 personnes). Deux questions ont été ajoutées sur l’émergence d’un « droit à la déconnexion ».
Voici les nouvelles questions :
La CGC accompagne le sondage du communiqué de presse suivant :
La CFE-CGC dénonce le workaholisme au blackberry
Les cadres souffrent de workaholisme, en particulier du fait des NTIC, telles sont les dernières conclusions du baromètre du stress de la CFE-CGC.
La CFE-CGC envisage, comme ses collègues américains, de réclamer soit la prise en compte des heures supplémentaires, soit le droit à la déconnexion en dehors des heures de travail. En s’appuyant sur les mémoires des PDA et autres outils qui réalisent de véritables laisses électroniques, il n’y a plus de véritables difficultés techniques, quitte à demander les facturettes aux opérateurs !
Un indice ne trompe pas, la part des entreprises qui fournissent gratuitement un blackberry à leurs cadres a augmenté de 16 points en un an, passant à 28%, de même 41% d’entre eux disent ne pas pouvoir se déconnecter en soirée et pour 35% pendant le week-end.
Au moment ou l’on met en place une augmentation de la durée de vie au travail 39% des cadres interrogés, (soit 5 points de plus) pensent à quitter le travail à cause du stress ! C’est l’indice le plus grave, comment les entreprises peuvent-elles espérer un engagement et une implication des salariés dans de telles conditions. 78% des entreprises ne tiennent toujours pas compte du stress dans leur management, même si cela baisse, c’est beaucoup !
Au delà de la question des outils de NTIC la plupart des indicateurs vont en s’aggravant, jamais la note globale de stress n’avait atteint un tel niveau depuis la création du baromètre du stress dans sa forme définitive.
L’indicateur le plus inquiétant semble bien celui qui indique que près de 39% des cadres pensent à quitter leur travail à cause du stress ! comment les entreprises peuvent elles espérer des salariés engagés et impliqués dans ces conditions, on sait bien que le présentéisme est le principal facteur de mauvaise productivité, décidément les employeurs manquent de compétence managériale.
La CFE-CGC réclame que les conditions de travail psychiques, cognitives, sensorielles et affectives soient enfin considérées comme les autres conditions de travail, qu’elles provoquent une prise en compte au niveau de la maladie professionnelle et soient de plein droit l’objet de débat au niveau du CHSCT. C’est dans cet esprit qu’une nouvelle bande dessinée va sortir prochainement.
L’intégralité des résultats est sur le site de la CFE-CGC : www.cfecgc.org.
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