La déconnexion volontaire aux TIC
Usages
Trois individus hyperconnectés s’expliquent sur leur usage intensif des smartphones
6/10/12
Ils se sentent coupés du monde, envoient des centaines de mails, tweets et SMS par semaine et protègent leurs smartphones par tous les moyens même s’ils n’ont, selon eux, rien à y cacher : trois individus hyperconnectés racontent dans cet article leurs expériences respectives en matière d’addiction et de déconnexion.
L’un d’entre eux, Derek Smith, étudiant en médecine, s’est demandé s’il ne passait pas trop de temps sur son smartphone et si cette addiction pouvait avoir un impact négatif sur ses relations sociales. Mais selon lui, les bénéfices apportés par ces technologies sont indiscutablement supérieurs aux quelques inconvénients qu’elles engendrent.
http://www.abc2news.com/dpp/news/science_tech/800-texts-in-one-week-diaries-of-3-smartphone-addicts
La simple présence d’un smartphone interfère grandement sur les conversations en face-à-face
5/10/12
Plusieurs recherches menées ces derniers mois s’accordent à montrer que le simple fait d’avoir un smartphone posé sur la table lors d’une conversation en face-à-face était en mesure d’interférer sur celle-ci. L’individu connecté se montre plus distant, moins disponible car il doit faire face à plusieurs situations en même temps, comme s’attendre à recevoir un mail ou un appel à tout moment et réagir en conséquence. Pour le chercheur Andrew Przybylski du département de psychologie de l’université d’Essex, le constat est clair : « There might be social costs to having a phone out that you don’t expect« .
L’addiction à Internet bientôt reconnue comme un trouble psychiatrique ?
4/10/12
La prochaine édition du manuel américain des diagnostiques et statistiques des troubles mentaux, reconnu comme ouvrage de référence dans le domaine de la psychiatrie, prévoit d’inclure l’addiction à internet comme un « désordre mental ». En marge de l’Internet en lui-même, la classification tiendra également compte de l’usage intensif des smartphones et tablettes tactiles, ainsi que le temps passé sur les jeux vidéos. Les psychiatres sont partis d’un constat simple sur l’addiction à ces derniers par les plus jeunes populations pour l’extrapoler aux autres tranches d’âge et surtout aux technologies voisines :
«L’Australie a été un des premiers pays à reconnaître le problème et à proposer un traitement à la population, et a créé des cliniques qui traitent l’addiction au jeu vidéo. Le fait qu’une technologie autant utilisée puisse faire du mal aux enfants a entraîné de nouvelles études sur les habitudes des adultes concernant d’autres appareils utilisés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour la lecture, le divertissement et les interactions sociales.»
Lien de l’article : http://rt.com/news/internet-use-mental-illness-389/
Etre connecté, une addiction réelle
3/10/12
En plus des éléments précédemment cités, il est important de souligner que plus d’un Français sur deux estime qu’internet peut être une drogue, et, plus de 6 sur 10 pensent qu’ils utilisent trop les nouvelles technologies actuelles. L’avènement des réseaux sociaux explique en partie cela car chaque utilisateur est susceptible de changer son statut, de déposer des photos ou encore d’envoyer un tweet, à ce titre, les « drogués » ne veulent pas rater une seule information puisque le principe même repose sur la réactivité et le partage des informations.
http://www.conseil-entreprise.org/etre-connecte-une-addiction-reelle-n94643.html
Etes-vous prêt à déconnecter 2.0 ?
3/10/12
La France a réussi la réduction de la fracture numérique, même s’il reste encore des zones blanches dans quelques régions. Chaque français a vécu cette révolution numérique en adoptant des modes de vie et de consommation qui ont modifié considérablement le quotidien. Pourtant un sondage récent réalisé par Metrix Lab pour Havas Media fait apparaître une nouvelle tendance : la déconnexion.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/etes-vous-pret-a-deconnecter-2-0-123333
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