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La déconnexion volontaire aux TIC
La déconnexion volontaire aux TIC
14/06/13
« Nous sommes dans une démarche d’immédiateté » souligne Olivier Deschaseaux, cofondateur de Joul.
L’entreprise souhaite en effet inaugurer plusieurs systèmes de tracking, qui fonctionnent à la fois pour les transports en commun et pour les personnes. Il est question de suivre le parcours des bus en temps réel sur une carte Google Maps, ou encore de proposer aux utilisateurs de fixer un rendez-vous localisé à leurs amis, et de permettre à ces derniers de suivre leur progression géolocalisée vers le point de ralliement.
13/06/13
Les diverses inquiétudes liées à la question de la vie privée ne datent pas d’hier, comme le révèle un article du Daily Beast qui a retrouvé récemment une couverture de Newsweek datant de… 1970, qui consacrait déjà tout un dossier à cette problématique.
Lien vers le dossier : http://www.thedailybeast.com/articles/2013/06/11/is-privacy-dead.html
7/06/13
Les articles journalistiques où un « cobaye » tente l’expérience de se déconnecter volontairement pendant une durée déterminée foisonnent sur Internet, et arrivent souvent à la même conclusion que l’on pourrait grossièrement résumer de la façon suivante : « qu’est-ce que c’était bien, j’ai redonné du sens à ma vie, j’ai rencontré beaucoup plus de monde, etc. » L’histoire de Paul Miller est donc intéressante à plus d’un titre : il a effectivement vécu cet « euphorie » durant les premiers mois, avant de se faire rattraper par la réalité et de se rendre compte à quel point la vie sans la moindre connexion pouvait parfois être difficile. Mieux encore, il en conclut que cette expérience l’a mené à l’éloigner des autres alors qu’il pensait initialement que la déconnexion produirait l’effet inverse, au point de parler de « repli social » et d’en conclure que, d’une manière ou d’une autre, sa vie était inextricablement liée à Internet.
http://www.theverge.com/2013/5/1/4279674/im-still-here-back-online-after-a-year-without-the-internet
3/06/13
Même s’ils partagent un nombre croissant de données personnelles sur Facebook, les adolescents américains seraient de plus en plus concernés par la gestion de la confidentialité de ces informations. Après avoir réalisé une enquête montrant que 74% des américains possesseurs de smartphone utilisaient la géolocalisation sur leur terminal, cette nouvelle étude de l’institut Pew nous apprend que 60 % de adolescents américains choisissent de paramétrer leur profil Facebook en mode « privé », ce qui permet de limiter le nombre de personnes capables de voir leurs données. Et 56 % disent assurer que « ce n’était pas du tout difficile » de gérer les paramètres de confidentialité sur leur profil. Seuls 8 % des jeunes internautes interrogés estiment qu’il était « quelque peu difficile » de s’y retrouver et 1 % « très difficile ».
30/05/13
A l’heure des Big Datas et des questionnements de plus en plus nombreux sur les risques liés à l’utilisation de la géolocalisation pour la vie privée, cet article publié en Mars 2013 dans Nature s’intéresse au nombre d’informations nécessaire, dans le temps et dans l’espace, pour qu’une personne géolocalisée devienne unique.
http://www.nature.com/srep/2013/130325/srep01376/full/srep01376.html
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