La déconnexion volontaire aux TIC
bruna
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Article par bruna
Une nouvelle étude sur l’addiction au mobile…
20/02/13
« ROOMn, les Rendez-vous One-to-One de la Mobilité Numérique, dévoile aujourd’hui une étude sociétale en partenariat avec l’IFOP, autour des Français et de la relation qu’ils entretiennent avec leur mobile. »
15 jours en mode « low-tech », suite et fin de l’expérience
8/02/13
Les journalistes du site de high tech Les Numériques ont publié aujourd’hui le résultat de leur expérience, déjà évoquée ici, qui consistait, entre autres, à passer deux semaines non pas sans la moindre connexion mais en troquant les smartphones haut de gamme pour des téléphones portables traditionnels aux fonctionnalités évidemment limitées.
http://www.lesnumeriques.com/15-jours-sans-smartphone-ni-reseaux-sociaux-a1641.html
L’hyperconnexion, on en parle aussi en images !
8/02/13
Une simple photographie est parfois plus percutante qu’un long article… Ces deux photos comparant le premier et le second discours d’investiture du Président américain Barack Obama (prises avec précisément quatre ans d’écart, le 20 janvier 2009 puis le 21 janvier 2013) ont clairement un but humoristique, avec toutefois un problème de fond qui nous concerne directement…
http://anr.devotic.univ-pau.fr/wp-content/uploads/2013/02/319723_10151397205039905_1070476754_n.jpg
Une autre forme de déconnexion partielle : le « low-tech »
3/02/13
Si le terme high-tech englobe naturellement les derniers smartphones et tablettes du marché, le low-tech pourrait éventuellement représenter nos vieux feature-phones qui n’avaient guère d’autres fonctionnalités que les appels téléphoniques et l’envoi de SMS. Les journalistes de la rédaction d’un grand site français de high-tech, justement, ont ainsi tenté l’expérience non pas de la déconnexion totale mais d’une déconnexion partielle puisqu’ils ont repris les anciens Nokia de leur jeunesse : pas de Facebook, pas de géolocalisation, pas d’internet, pas même d’appareil photo pour capturer les petits évènements du quotidien, et un petit écran en noir et blanc en guise de « connexion au monde ». Une expérience d’autant plus difficile pour ces rédacteurs hyperconnectés et habitués à utiliser le « dernier cri » toute l’année dans les sphères de l’informatique et du multimédia. Ils dévoilent les premiers résultats de leur « défi low-tech » dans l’article suivant…
Google Now, ou les dangers de la géolocalisation permanente
28/01/13
Il s’agit pour certains de l’avenir de la géolocalisation. A l’heure où les fonctions de commande vocale sont de plus en plus développées sur les smartphones et où il suffit de pointer l’APN de son terminal vers un point d’intérêt pour en recueillir toutes les informations nécessaires, Google Now est déjà allé bien plus loin. L’application géolocalisée « tout-en-un » de Google utilise en effet une grande quantité de données personnelles présentes sur le smartphone de l’utilisateur qui, couplées à sa position géographique enregistrée de façon permanente, permet de notifier le mobinaute d’un vaste flux informationnel sur l’espace qui l’entoure. Plus besoin de faire la démarche de chercher quelque chose par soi-même, le smartphone le propose déjà : « En réalité, je pense que les gens ne veulent pas que Google réponde à leurs questions. Ils veulent que Google leur dise ce qu’ils doivent faire » nous confie ainsi Eric Schmidt.
http://www.cnetfrance.fr/news/google-now-et-la-geolocalisation-permanente-39786231.htm
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